lundi 24 mars 2008

Here we go here we go here we go !

Enfin here we were. Surtout.

Samedi soir c'était petit détour par Saint-Denis dans le neuf-trois. Petit détour pour grand pestacle, genre 3 étoiles au guide (vert) michelin. Invité que j'étais j'avais rendez-vous vers 19h devant le Stade de France. Me souvenant de mes galères du match OM - Sochaux l'an dernier, arrivée au pied du stade, bouchons, retour Porte de la Chapelle, bouchons, demi-tour, garage de voiture, 2 Km à pieds. Bref. J'ai appris cette fois-ci.

Départ un peu en avance, périph tranquillou. Porte de la chapelle astucieux, comme un grand parisien, tout droit et demi-tour 200 mètres plus loin pour éviter tout le monde qui tourne à gauche. Même les taxis le font pas tous. Ensuite longement de l'A1, arrivée rue de Montjoie puis cherchage de place. Arrivée rue de la procession, une petite place tranquille. A 500 mètres même pas du stade.

19h pétantes j'étais prêt, près de saucisses. Après avoir téléphoné mes invitants étaient arrivés et c'est sous une pluie battante et un vent glacial qu'on rejoignait le stade.

Ensuite ca été grand pestacle, malgré le vent glacial durant tout le match. Tout d'abord la piste autour du terrain est toute rose, les poteaux aussi. Rigolo et sympa. Les animations s'enchaînent. Sauts en moto-cross, lanceurs de drapeaux, pom-pom girls. Ensuite concert puis arrivée du ballon. Grand spectacle je vous dis.

Puis c'est l'apothéose. Entrée de joueurs avec grande musique et décorations qui tombent du toit. Impressive. Un long frisson me parcourt tellement c'est grandiose.

Ensuite c'est le match. Très beau. Les parisiens assurent vraiment le beau jeu. Le public suit quand il faut. Les olas s'enchaînent. C'est festif. 10 000 fois plus que pour l'équipe de France, un peu moins que pour un PSG OM où le stade vibrait vraiment.

Les belles actions des parisiens agrandissent le score. Les toulousains ne peuvent pas réagir. Paris est intraitable en défense et très bon en attaque. La fin du match arrive sur un 29 - 0 des familles.

S'en suit un peut d'attente avant un feu d'artifice assez impressionnant au milieu de stade. Le stade éteint, rempli de 79 733 (record battu !) personnes ca impressionne.

Retour dans la nuit parisienne, bouchonnée un peu. Mais le spectacle était vraiment très réussi. La grande classe. Guazzini (président du Stade Français) est peut-être ce qu'il est. Mais le spectacle offert c'est vraiment le top niveau. Here we go , here we go, here we go...

mardi 4 mars 2008

L'homme qui ne s'appelait pas

On connaisait Ulysse d'Homer - Spider cochon, spider cochon il sait marcher au plafond - et éventuellement Bud Spencer -& Spencer- et Terence Hill- Bill (pas mal celle là tiens, j'en suis pas peu fier)- dans "Mon nom est personne". Je viens de découvrir pire - Note : Putain Grummly c'est chiant d'écrire comme toi :):) -.

En effet, (Paul) Personne c'est pas le top comme prénom mais c'est pas trop pénalisant. Au pire on peut te le redemander mais t'es pas trop handicapé. Alors que le nouveau prénom que j'ai entendu hier si. Petite mise en situation.

Hier il est 18h30, je suis à mon bureau, tablant sur une petite quantité de travail restante qui m'amenerait tout doucement vers un 20h corsé. Quand tout d'un coup (patois bressan staïle) débarquent une bande de techniciens armés de leur bleu de tavail. Leur mission : supprimer les cables existants pour installer des interrupteurs en infrarouge (sans fil). Outre l'intérêt très limité d'une telle manipulation, m'enfin comme dirait ma mère faire et défaire c'est travailler, cette installation m'a permis d'assister à une scène cocasse, je n'ose dire hilarante.

Le chef, que j'ai reconnu parce qu'il donnait les ordres, appelle alors un de ces employés. Je vous refait la scène.
Chef s'adressant au seul mec près de lui dans un rayon de 3 mètres : Comment tu t'appelles ?
Employé : Qui ça ?
Chef un peu énervé : Ben toi là ! Y'a personne d'autre !
Employé : Non Monsieur mais je m'appelle Kissa (là j'ai un doute pour l'écriture...)
Chef médusé et cachant un rire : Toi tu t'appelles Kissa ?
Employé : Oui

Et moi de tomber derrière mon écran mort de rire. Et d'imaginer la vie du mec, à chaque fois qu'on lui demande son prénom. La vie est injuste.

Enfin à titre informatif je vous rappelle que le noyau d'un morphisme mesure le degré auquel un morphisme n'est pas injectif.