Voilà j’ai une heure trente, le temps d’un Paris-Macon en TGV pour vous raconter ma semaine et plus si affinités. Oui je sais j’ai rien posté cette semaine mais je n’ai absolument pas pu. Boulot et soirées s’enchaînent, à moins que ce ne soit l’inverse. Alors je vais tout refaire. Dans l’ordre ou presque.
Tu coinches ou pas ?
Mercredi c’était soirée coinche. Avec une deuxième soirée et une troisième en préparation cela pourrait bien devenir une sorte d’institution. Alors certes on ne joue pas à la coinche comme chez moi, les annonces ils s’en balancent, seule une belotte traîne encore ici ou là. C’est dommage je trouve que ça perd son charme, de pouvoir annoncer des 240 comme on veut, de retourner une situation incroyable en sortant un carré de dames derrière les fagots. C’est pas grave une fois la frustration passée on retrouve toutes les subtilités du jeu.
L’entente, la connaissance du partenaire, ca reste le must. Tout est dans l’annonce orale de toute façon. Après si ya feeling ca fait des étincelles. Ca reste vrai avec ou sans les tierces, cinquantes et autres cents. Et puis l’impasse ou la recherche du 10 improbable ca fait toujours plaisir.
Bon mercredi j’ai perdu, deux fois. Ca arrive mais c’est pas grave. La soirée était de toute façon réussie. Petit appart de Nanne, ex-collègue, déjà-amie-avant, avec Jeanfi, son Monsieur à elle et aussi Paulo. L’appart est géant. A côté de nation, une sorte de loft avec un grand salon, un coin cuisine extra, une chambre en haut avec une grande salle de bain et le must : une terrasse de 10 bons mètres carré. Le pied vraiment cet appart !
Bon la terrasse ca reste quand même le drame. Bah oui parce qu’elle est située en plein milieu d’une cour intérieure, du coup ca résonne un peu et les gens à côté ils sont pas contents. Et ca fait des histoires. C’est dommage parce qu’elles étaient bien les histoires coquines de Nanne.
Le premier épisode fut bref mais intense. Pendant le repas.
Une fenêtre s’ouvre, un mec hurle :
- On n’est pas à la campagne !!!!
Jeanfi se lève, ne sachant pas trop d’où ca vient il répond :
- Et bien t’as qu’à y aller… Connard ! (Attention tout est dans l’intonation sur « Connard »)
Le deuxième fut plus mesquin. Un moment après le premier épisode, on entend un bruit sur le toit, puis une tomate vient s’écraser sur la terrasse, un bon mètre derrière nous. Après étude de l’impact et de la direction, on s’aperçoit que la tomate ne peut venir que d’une seule fenêtre, possédée par un être qui en plus d’être courageux m’a l’air d’être un sacré con. Finalement Jeanfi aura encore le mot de la fin en nous disant :
- C’est qui est bien c’est qu’ils commencent à jeter des trucs qui ne sont plus périmés… Bientôt on aura des homards et des bouteilles de whisky.
Finalement on est rentrés, sous les hourras de la foule et je suis tombé amoureux du Nabaztag/tag, l’objet le plus inutile du monde donc totalement essentiel. Il s’agit d’un lapin, connecté en wifi (Maman ca veut dire sans fil) à internet, qui parle et bouge les oreilles, te raconte sa vie et que si tu lui demandes il peut te donner la météo, le trafic ou ta radio préférée. Bref inutile donc essentiel.
Il paraît même, d’après Darfy, que sur leur site internet on peut s’enregistrer pour faire dire n’importe quoi aux lapins. De là à balancer des insanités…
Tu coinches ou pas ?
Mercredi c’était soirée coinche. Avec une deuxième soirée et une troisième en préparation cela pourrait bien devenir une sorte d’institution. Alors certes on ne joue pas à la coinche comme chez moi, les annonces ils s’en balancent, seule une belotte traîne encore ici ou là. C’est dommage je trouve que ça perd son charme, de pouvoir annoncer des 240 comme on veut, de retourner une situation incroyable en sortant un carré de dames derrière les fagots. C’est pas grave une fois la frustration passée on retrouve toutes les subtilités du jeu.
L’entente, la connaissance du partenaire, ca reste le must. Tout est dans l’annonce orale de toute façon. Après si ya feeling ca fait des étincelles. Ca reste vrai avec ou sans les tierces, cinquantes et autres cents. Et puis l’impasse ou la recherche du 10 improbable ca fait toujours plaisir.
Bon mercredi j’ai perdu, deux fois. Ca arrive mais c’est pas grave. La soirée était de toute façon réussie. Petit appart de Nanne, ex-collègue, déjà-amie-avant, avec Jeanfi, son Monsieur à elle et aussi Paulo. L’appart est géant. A côté de nation, une sorte de loft avec un grand salon, un coin cuisine extra, une chambre en haut avec une grande salle de bain et le must : une terrasse de 10 bons mètres carré. Le pied vraiment cet appart !
Bon la terrasse ca reste quand même le drame. Bah oui parce qu’elle est située en plein milieu d’une cour intérieure, du coup ca résonne un peu et les gens à côté ils sont pas contents. Et ca fait des histoires. C’est dommage parce qu’elles étaient bien les histoires coquines de Nanne.
Le premier épisode fut bref mais intense. Pendant le repas.
Une fenêtre s’ouvre, un mec hurle :
- On n’est pas à la campagne !!!!
Jeanfi se lève, ne sachant pas trop d’où ca vient il répond :
- Et bien t’as qu’à y aller… Connard ! (Attention tout est dans l’intonation sur « Connard »)
Le deuxième fut plus mesquin. Un moment après le premier épisode, on entend un bruit sur le toit, puis une tomate vient s’écraser sur la terrasse, un bon mètre derrière nous. Après étude de l’impact et de la direction, on s’aperçoit que la tomate ne peut venir que d’une seule fenêtre, possédée par un être qui en plus d’être courageux m’a l’air d’être un sacré con. Finalement Jeanfi aura encore le mot de la fin en nous disant :
- C’est qui est bien c’est qu’ils commencent à jeter des trucs qui ne sont plus périmés… Bientôt on aura des homards et des bouteilles de whisky.
Finalement on est rentrés, sous les hourras de la foule et je suis tombé amoureux du Nabaztag/tag, l’objet le plus inutile du monde donc totalement essentiel. Il s’agit d’un lapin, connecté en wifi (Maman ca veut dire sans fil) à internet, qui parle et bouge les oreilles, te raconte sa vie et que si tu lui demandes il peut te donner la météo, le trafic ou ta radio préférée. Bref inutile donc essentiel.
Il paraît même, d’après Darfy, que sur leur site internet on peut s’enregistrer pour faire dire n’importe quoi aux lapins. De là à balancer des insanités…
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