mercredi 22 avril 2009

Oui j'ai rêvé de toi, François !

Hier je me réveille mort de rire, fait rarissime s'il en est. Non seulement je me souviens de mon rêve mais en plus il était fort drôle le bougre. Quel bougre ? François bien sûr.

Bon François rassure toi je ne rêve pas souvent de toi. Ou alors je m'en souviens pas, je ne sais pas. Mais là je me rappelle de tout, réveillé en sursaut par mon rire. Petit rappel des faits.

Dans mon rêve, il y a des trucs bizarres comme dans chaque rêve. Des situations impossibles mais qui assemblées tiennent la route. Hier nous étions quelques uns à être présents dans un hôtel. Le quelques uns étant vague car je ne rappelle que des éléments clés : François, ma bien-aimée et moi.
L'hôtel je ne m'en souviens pas. Aucune importance. Par contre la chambre de l'hôtel ressemblait à la chambre de mon frère et pour y descendre il fallait passer par l'escalier de chez mes parents. Impossible mais cohérent dans un rêve.

Alors que nous sommes les quelques uns dans la chambre de mon frère, débarquent alors les trois filles travaillant à l'accueil de l'hôtel. Parmi ces trois filles se trouve une blonde répondant au surnom de Grimace. Allez savoir je ne sais pas pourquoi elle était affublée de ce surnom car sans être incroyablement belle elle était dans mes souvenirs loin d'être laide. Sans qu'on ait rien demandé elles viennent nous dire explicitement qu'elles ne sont absolument pas intéressées par nous.

A vrai dire on ne comprend pas pourquoi elles viennent nous dire cela, ni comment cela sort du chapeau. Mais le fait est qu'elles sont là et que je marche à côté de François et que nous croisons Grimace. Celle-ci confirme les dire de ses deux amies et explique qu'elles sont venues de manière unilatérale. Mais son ton, son regard vers François et son attitude me laissent à penser qu'elle n'était pas si unilatérale que ça, Grimace.

Nous continuons notre chemin avec François et descendons les escaliers. Alors que je m'apprête à parler à François de mon raisonnement et que je m'enthousiasme déjà de lui dire : "Vas y fonce c'est tout bon pour toi", François se tourne alors vers moi et s'exclame alors dans un élan de spontanéité "Oh putain qu'est ce qu'elle est moche Grimace !!!".

Alors François, pour tes blagues dans mes rêves, merci :)

mardi 10 février 2009

Petit moment de solitude

Depuis quelques temps les journées sont bien chargées. La faute à un nouveau projet qui démarre, aux réunions de préparation et à la rédaction de notre proposition de réponse, 70 pages bien ficelées, après pas mal d'heures de boulot. Demain présentation, costard-cravate-trac. Mais bon rien à voir avec le sujet du jour.

En effet entre deux mails et deux corrections de document je me suis rendu compte que ma boîte mail EDVI (aaaah Lafesse) était bloquée. La faute à un système de migration hyper bien pensé, encore une fois.
Etape 1 : Je change le serveur de migration pour l'utilisateur (moi).
Etape 2 : Je lui envoie un message pour l'avertir et lui expliquer comment configurer sa boîte.
Etape 3 : L'utilisateur (moi) n'arrive pas à ouvrir le mail car il vient du nouveau serveur qu'il n'arrive pas à accéder car il ne l'a pas configuré.
Etape 4 : L'utilisateur (moi) arrête de parler de lui à la 3ème personne et insulte le mec qui a pensé ce système.

Bref j'étais bloqué. Je ne recevais plus de mail. Et donc j'ai voulu faire corriger le problème. J'ai donc appelé la hotline et le technicien a pris le contrôle de machine à distance.
Pour ceux qui ne savent pas ce que ça signifie, euh bon enfin pour ma mère, cela veut dire que j'autorise le technicien à prendre en main ma machine, que ce qui s'affiche sur mon écran s'affiche sur le sien et qu'il peut contrôler ma souris. Cependant moi je continue de voir ce qu'il fait.
Et c'est là que survient le drame, enfin la notification.

La notification est un petit outil fournit avec gtalk, logiciel de chat. La notification c'est un petit carré qui s'affiche en bas à droite de mon écran pour me dire que j'ai reçu un e-mail sur ma boîte gmail. Et comme la notification est bien faite le sujet du mail s'affiche dans le mail.

Jusque là rien de dramatique. Enfin si. Tout ça c'est la faute de Zamzam et de BenBen. Parce que BenBen on l'a enterré en juin, enterré sa vie de garçon. Genre gîte, vignoble et 15 mecs. Bref évidemment le concept nous a pas seulement plu, il a aussi eu son ptit nom (merci Zamzam : le week-end entre couille). Pas très poétique mais qui a le mérite de préciser le contexte. Cette année on recommence. New gite, new vignoble but same fucking name. Same contexte.

Putain de contexte d'ailleurs. Parce quand Monsieur le technicien était sur mon écran, la notification a notifié et bien notifié et un gros "WE entre couille" est apparu sur l'écran. Là j'ai eu comme une goutte de sueur qui a perlé. Parce que sans le contexte, ce gros WE entre couille... Merci bien.
Le mec a été pro, il a rien dit, même pas un rire. Mais moi je passe pour quoi moi?

mardi 27 janvier 2009

Ode à la poésie - Thomas Gravesen

Jour noir pour le football. Enfin surtout pour le football de Joey, Stig, Harald, Gernot, Cyril, Raymond ou Craig. Oui oui je vous parle de la fine fleur du football intemporel. Celui du tackle, du tampon, de la charge, du petit coup de pied dans les jambes voire même du découpage par derrière du bourre-pif ou du coup de boule. Bref des vrais mecs quoi.

Oui car aujourd'hui un des plus fiers représentants du football "tough" nous quitte : Thomas Gravesen, danois de son état, viking dans l'âme. Alors qu'on se rassure, on pourrait bien entendre encore parler de lui, s'il garde ce même état d'esprit qui lui va si bien. Il saura bien nous lâcher quelques gentillesses sur les nouveaux footeux ou bien même arriver à se taper une petite baston dans un bar. Il n'a que 32 ans tout de même. Avant de parler de lui, recentrons nous sur le sujet.

Si Harald Schumacher restera connu pour avoir cartonné Batiston lors du Mundial 82 il entre là plus pour l'onde de choc qu'il a engendrée que pour une carrière exemplaire. Après avoir gentilment assomé Batiston lors du match, il y a eu un tollé général qui avait parfois des relents qui sentaient fort le casque à pointe. Bilan : 3 jours après le match Batiston et Schumacher arrivent comme deux potes en conférence de presse pour calmer le jeu. Pas fun.

Gernot Rohr et Raymond Domenech, notre bien-aimé sélectionneur, font déjà plus partie de la catégorie carrière. Défenseurs rugueux, adeptes du tacle musclé, ils auraient mérité un plus beau palmarès cartonique. Malheureusement pour eux à cette époque le tacle par derrière n'était pas aussi sanctionné. Dommage. Restera pour moi cette image de Gernot, jouant pour Bordeaux, alors que Giresse (récent transfuge de Bordeaux à l'OM) à la balle, Gernot prend 20 mètres d'élan et vient littéralement démonter et découper Giresse . Du bel oeuvre.

Cyril Rool est notre cocorico actuel à nous. Notre coqueluche. Si son début de carrière est marqué par ses coups de sang, ce cas est un peu à part car Cyril n'est en fait qu'une icône. Une fois estampillé "méchant" il a récolté tout au long de sa carrière de nombreux cartons pour délit de faciès. La preuve, sur le site officiel de la Ligue Professionelle de Football (LFP), il est mis en tête des joueurs ayant reçu un carton rouge cette année (Source Cahiers du foot) de manière totalement arbitraire. Comme une sorte de reconnaissance par le football actuel.


Viennent ensuite les poètes anglais, plus costauds encore car leur comportement reste fidèle à leurs valeurs sur et en dehors du terrain. Tout d'abord Craig Bellamy, galois, con et footballeur. Dans cette ordre. Et même s'il a joué pour des clubs prestigieux (Liverpool, Newcastle), il reste quand même connu pour ses méfaits en dehors du terrain.
Ainsi il s'amusa à mettre son cigare dans l'oeil d'un mec d'un bar juste pour rire, avant d'attaquer un coéquipier avec un club de golf. Nice. Pour finir, il fut obligé d'interrompre sa lune de miel pour venir se défendre au tribunal dans une affaire d'agression contre une jeune fille de 19 ans. Ca c'est pour la postérité.
Ensuite il y a Joey Barton. Le plus classe ou presque. Il a déjà un solide CV. Baston, baston et baston. Un jour il a tabassé Ousmane Dabo son coéquipier, comme ça à l'entraînement. Prison avec surcis. Bon comme il a récidivé dans un bar. Prison ferme. Et il est encore jeune, 24 ans. Ca laisse de la marge. En plus violent, son cousin est emprisonné pour avoir découper à un noir à la hache, par racisme. Quand je vous dis que c'est un poète.

Thomas a lui été influencé par Stig. Stig Tofting. Danois lui aussi. Ils ont même joué ensemble quelques matches autour de 2002 en équipe nationnale. Mais bon Stig s'est ensuite battu et a fait de la prison. Ca a stoppé sa carrière. C'est dommage parce que Stig était surnommé la "Tondeuse". Gentil surnom n'est ce pas. En tout cas un maître pour Thomas je n'en doute pas.

Si Thomas a eu une belle carrière avec des bons clubs comme Everton, le Celtic ou Hambourg c'est surtout son passage au Real de Madrid qui lui vaudra ses plus beaux faits d'armes. Arrivé en 2005 pour mettre de l'ordre dans le bordel laissé par Claude MC Makélélé parti du côté de Chelsea, Thomas le nordique ne trouve rien de mieux que de traiter Guti de "Petite pucelle" lors du premier entraînement, rapport à la coiffure de ce dernier. Par adoration sans doute, So foot se fait désormais un plaisir de nommer Guti par ce surnom valorisant.
Gravesen a donc joué au Real et a fait ce qu'il savait faire. Tacler, bastonner et défendre. Comme le Real jouait avec 3 attaquants et 4 millieux offensifs il fallait bien s'y coller.
Sa sortie s'est un peu terminée en eau de boudin. Tout d'abord, il a balancé que Raul Bravo, défenseur de son équipe, était le plus mauvais défenseur de la Ligua. Ensuite, alors qu'il venait de predre d'un petit pont à l'entraînement, il a traité Van Nistelroy de "Petite pute". Elégant.
Finalement viré pour s'être bastonné avec Robinho, il n'a trop de regrets concernant cette période. Ainsi il a traité ces anciens potes du Real de "merdes". Un vrai poète.

Aujourd'hui c'est un jour noir pour le football. Une icône s'arrête. Restera cette image pour la postérité :


vendredi 23 janvier 2009

Art culinaire & Résurrection

En effet, Jesus n'est plus seul. Un autre mythe nous est revenu. Hallelujah pour les papilles
Il y a un peu plus de 2 ans il a avait été rayé de la carte. Il sévissait alors dans le 14ème rue Raymond Losserand. Après il avait été remplacé par un bistrot sans goût et sans ambiance.

Un peu dépité on avait accepté. Et puis il est revenu. Désormais dans le 17ème rue Legendre le P'tit Canon is back. Et ça c'est une super nouvelle.
Encore mieux, tout a été recréé. Le restaurant a gardé le même charme. Petite décoration très vignoble et très sympa : marques de vins, caissons de bouteilles, siège en cuir rouge et nappe à petits carreaux. Le restaurant est un peu plus grand. Tant mieux on est plus à en profiter.
Encore encore mieux, la carte n'a pas changé. Même tarifs ultra compétitifs pour une qualité vraiment excellente. La nourriture est française mais qu'est ce que c'est bon... Cassoulet, tartare, confit de canard, lapin, foie gras, terrine à l'échalote. Tout est copieux et délicieux. Les gourmands profiteront du super plateau de fromages et des desserts. Les vins sont à un super rapport qualité / prix. Bref on se régale.
Encore encore encore mieux, le service est le même. Les serveurs sont les plus adorables que j'ai jamais vu. Ils conseillent parfaitement et savent reconnaître les clients réguliers. C'est un bonheur d'y manger. On s'y sent comme chez soi.

Enfin bref. La meilleure adresse, là où je me sens le mieux pour manger, ambiance, service, qualité, est revenue.
Maintenant à toi petit Jésus... Jésus Jésus Jésus revient, Jésus revient parmi les tiens. Du haut de la croix indique nous le chemin. Toi qui le connait si bien...

Bad day

Alors que mon PC fixe est bloqué avec un message un peu abscon "Mise en place du correctif de SECURITE en cours..."  et qu'il va redémarrer sous peu, je profite de mon PC portable pour écrire quelques lignes ici. Avec Chrome. Il lague un peu parfois mais j'aime bien sa fluidité. Et il booste avec gmail, google reader et autres sites google que j'utilise tous les jours. 

Edit : Mon PC fixe est désormais locké et les touches Ctrl-alt-Suppr ne fonctionnent plus. Cool

Remarque c'était un peu de ça dont je voulais vous causer. De la loose, la pouasse, la connerie du jour qui apporte son lot d'emmerdement suffisant pour la journée. Ouais un peu comme sur les céréales et au Mac Do avec leur pourcentage des AJR en protéines, sucres, lipides et sodium. 
C'est comme si t'avais des taux journaliers d'emmerdement avec différents niveaux (Temps perdu, énervement, etc...)

Genre bon t'habite dans le 77, tu mets 1h45 pour venir bosser et 2h pour en repartir t'as déjà 80% de tes apports journaliers (on dit pas quotidien ?) recommandés en temps perdu et 65% en énervement. Tu rajoutes à ça l'attente à la cantine le midi et une petite réunion c'est du tout bon. T'as les 100%. Recommandés ! Bon recommandés par qui, on ne sait pas.

Bon moi aujourd'hui je sens que je vais être pas mal. Action du jour : Renversement de café sur mon bureau : 40% d'énervement pour la journée, 35 % de temps perdu en nettoyage et un bon 70 % d'emmerdement à retrier mes feuilles pleines de café. Bon comme ça me saoulait j'ai tout jetté mais là n'est pas la question.
Du coup je suis déjà pas mal en emmerdement quotidien. Tu rajoutes un PC qui démarre pas et les bouchons ce soir je suis au top.

Bon après, c'est comme pour la bouffe, faut pas se leurrer, personne ne respecte les AJR. Genre toi tu comptes le soir en rentrant. Ah merde il me manque 30% de protéine. Bon alors sachant qu'un oeuf représente 13% des AJR, bon ben vais aller me faire cuire 2,31 oeufs. Non en fait comme tout le monde, tu fais pas gaffe et tu dépasses. Bon ben pour l'emmerdement c'est pareil. Y en a qui en prennent pas et y'en a qui en prennent à max tous les jours. Comme ça, juste par (chti) plaisir. 

Et puis on peut toujours se consoler en se disant qu'il y a pire. Par exemple hier. On est en voiture il pleut. On s'arrête à un feu (Attention au dosage : 3 feux consécutifs = 25% des AER (Apports en Emmerdement recommandés)). Et là on voit débarquer une mère indigne. Si si un peu. Parce que bon il pleut pas mal et elle a un parapluie. Mais elle a aussi une poussette avec sa fille dedans. Mais la poussette est pas sous le parapluie. 
Donc clairement mettons nous à la place de la petite fille. Elle part de la maison dans sa poussette. Elle prend toute la pluie sur la gueule pendant que sa mère se protège avec son parapluie mais, aussi du coup, n'a plus qu'une seule main pour guider la poussette. Et forcément ça va beaucoup moins bien. Alors quand tu traverses la route sur le passage piéton et que tu arrives de l'autre côté il y a toujours un petit rebord de rien du tout. Presque imperceptible. Mais suffisant. 
Bilan pour la fille : déjà que tu es trempée par la pluie, ta (conne de) mère te guide n'importe comment et rentre dans le rebord. Du coup tu te ramasses par terre, sur le sol mouillé. Pendant que ta mère te remonte comme elle peut en t'arrachant à moitié le bras. Même à 4 ans t'as les boules !
Tout ça sous les yeux des conducteurs pour bien mettre la honte à ta mère. 
Bon ben là t'as plus qu'à rentrer chez toi. De toute façon tous tes AER sont au top  !

Théorie du jour : Le bus (Bashfr)
Quand tu es serré dans un bus c'est toujours contre quelqu'un qui est moche et qui pue.

Donc si ce matin tu étais serré mais que ça t'a dérangé, déduis en ce que tu veux ...

jeudi 22 janvier 2009

Vous connaissez la chanson non ?

Ben oui j'ai évidemment plein de trucs à vous raconter sur l'art culinaire, le Moyen-Age à Paris et sur les nouvelles technologies. Et promis cette fois je n'insulterai pas les cons de la banlieue. Sisi promis je ferai un effort. Enfin bon ils l'ont cherché. Non ?

Donc bon, à tous les amateurs de 12ème degré, dès que j'ai du temps, je reviens avec toutes les douceurs promises juste au-dessus là. Pour les autres ben je reviens bientôt quand même.

A tout vite.

lundi 12 janvier 2009

I've got "Sold" but I'm not a soldeur

Permettez-moi de reprendre les paroles d'une chanson, par ailleurs plus qu'excellente (dans la fosse à 2 mètres du chanteur au Zenith encore plus) des Killers, petit groupe de Las Vegas. Killers, tueurs ça a bien failli m'arriver samedi.

Samedi, début janvier, belle journée, bien froide. Quelle belle idée nous avons eu d'aller faire quelques emplettes, soldes oblige, du côté du pays de Mickey. Genre dans le Seven-Seven. Chez les ploucs.

Ben figure toi que les ploucs ils ont rien à foutre le samedi alors ils sortent. Merde. Pas prévu comme ça nous. Bilan un arrivée à 10h30 et un parking plein, déjà. Pinaise. Un petit tour à la vallée village (quelques grandes marques dans des boutiques dégriffées (30% l'année et les soldes en plus) déjà bien remplie de monde. Quelques achats intéressants. Un peu de froid et du soleil. Bon.

Et puis la folie, le truc de dingue, la lobotomisation par le capitalisme. Alors bon les français râlent, ils ont plus de sou, c'est la crise tout ça. Ben faudra quand même m'expliquer ce qu'ils faisaient par milliers (dizaine de milliers ?) là-bas dans le centre commercial. Franchement c'est de la folie. Le centre est immense (genre 600 mètres de long) et presque bien conçu. Mais là c'était juste impossible. C'était rempli de milliers de cons avec les poussettes, les gamins et presque le chien. Un truc de fou.

Je n'imagine pas le chiffre d'affaire sur une journée du centre, ni le nombre de personnes. Et vas-y des habits, un petit resto à 20 euros et une petit glace sur place. Il paraît que plus de 50% des gens présents ne viennent pas pour acheter. Putain les cons! Putain de parents. Putain de 7-7.

Donc on est ressortis sans rien, parce que bon. On est pas des cons. Dehors il faisait beau et froid. Enfin ! On va aller manger quelque part. Un bon MacDo. Ben non. Là c'est le pompon. Très bien conçu ce putain de parking de mes deux. Notre voie rejoint une autre voie, qui rejoint une autre voie, qui rejoint une autre voie. Tout une série de ramifications remplies de voiture donnant sur un rond point puis un autre rond point qui finalement rerentre dans le parking. Tu connais le serpent. Ouais une heure d'indigestion et de connards qui avancent pas et la furieuse envie de tuer tout le monde. Ca ferait toujours quelques milliers de cons en moins.

Et après ça a continué encore. Direction chez Ronald sur le GPS. Très bien à 1km et des brouettes. Ca marche. Autre centre commercial (oui oui à 1km près), presque aussi grand et ... un MacDo. Non non pas un Mac Donald's mais bien un MacDo. Genre un rebut de vrai restaurant. Pas de sièges, une caisse et deux sandwichs et demi. La loose du 77. Re-voiture, re-A4 et enfin le Mc graal. Une petit maison avec un vrai Ronald Mac Zubzub et un Big Tasty. Enough !

Retour peu bouchonné et garage à l'arrache sur une place livraison au bord du craquage nerveux. Bonne fin de week-end quand même tout repos, calme et volupté. Le 2ème ça n'a pas de prix. Surtout pour les cons du 77.

mercredi 7 janvier 2009

Froaaaaaaaaaaa

Je profite d'une petite pause dans ma formation (ben oui j'avance plus vite que les autres) pour écrire un petit bout ici. J'avoue que je pense avoir beaucoup de chance d'être là. Je suis à la Défense, dans une tour, pof pof le laptop sous le bras, en train de suivre une formation.

Internet en wifi, vidéoprojecteur, au chaud, café, internet. Mine de rien je trouve que c'est c'esst une sacré chance. J'aime bien ma vie. Ca paraîtra con pour vous mais moi j'aime ce petit bout de vie. Ces quelques choses simples ou lourdingues que je trouve top. J'aime vraiment ce que je fais.

En plus j'adore le temps d'aujourd'hui. Bien beau et bien froid. Bien en dessous de 0. Comme dirait mon cousin : "Putain ils sont trop cons les parisiens ils râlent quand il fait -4 pendant 3 jours mais ferment leur bouche quand il pleut pendant 2 mois de suite". Tellement vrai.
Et pour avoir vécu les deux, temps sec et froid de l'est, temps pluvieux de Paris/Rouen, je peux vous dire que je préfère 1000 fois un temps comme aujourd'hui. Pourvu que l'hiver dure un peu comme ca.

Et puis après quand revient le printemps, il faut que ça continue sur le même type. Temps clair et quelques degrés de plus. Pas de pluie svp. Et comme il a fait bien froid longtemps t'es bien content de retrouver le chaud.

Voilà c'est tout pour aujourd'hui et j'ai même pas insulté cette connasse d'Evelyne Dhéliat.
Sebastien Folin.

mardi 6 janvier 2009

Rallye de Noël - Merry XMaas

Après le père, après le sapin, après les cadeaux, après la nuit, après la dinde, après la bière de Noël, voici le nouveau concept de Noël : Le rallye.
7 étapes bien remplies, un voyage à trois coins de la France, plus de 2000 km empilés, de la température à gogo en dessous de zéro et plein de douceurs.

Etape 1 : Le rallye urbain
1h40 pour faire Nanterre - Gare de l'Est. Ca tombe bien parce que c'était le temps critique estimé et donc que tu as le train. Mais bon ils font chier les gens à tous prendre leur voiture le 23 décembre. Et encore j'avais étudié le parcours, utilisé des chemins de traverse pour éviter certains pièges (Porte Maillot, Champs Elysées). Au final, le résultat est là et le train pris avec en cadeau un garage en quatrième file à Gare de l'Est.

Etape 2 : Poor lonesome roader.
En à peine 2 fois plus de temps qu'il n'en a fallu pour faire 15 bornes, j'en ai fait 400. La voiture remplie telle la hotte du Papa Noël : cadeaux à gogo, affaires de ski, skis, chaussures de ski, duvets, matelas gonflables, Wii et tout le tintouin. Youhou. Quelques heures après j'étais au chaud à la maison.
Quelques jours en famille avec préparation le 24, repos et Wii pour tout le monde (oui oui toute la famille sur les lapins crétins) et ouverture des cadeaux le 25 au matin. Un gaufrier, du parfum, un livre sur les verrines, un pull noir, des cornets de frites en vaisselle (ouais c'est hype), du vin. Un repas de Noël bien rempli avec des escargots, de la terrine, de l'oie, du gratin aux Brie et bien entendu les satanées bûches de Noël (Moi ca me gave ces gateaux roulés trop lourd et trop gras et même pas bon.).

Etape 3 : Transport Metz - Macon
Repos et famille le 26 avant une sortie Buffalo Gril. Et mon ange qui nous rejoint en train pour valider son étape. Bowling sympa même si le repas d'hier devait être sur mon estomac avec un score pareil.
Nouveau repas de famille le 27 avec jeux de cartes et même King Kong en cadeau bonus.
Repos le dimanche avant le départ.

Etape 4 : Road to the south - Les forestons represents
Route le lundi matin de 9h à 13h avec une arrivée à Orcières Merlette. Le temps de se changer, de prendre forfait et skis et l'arrivée sur les pistes est longue. De plus il fait beau mais très très très froid. Ca pique. On arrive et on allume. On est claqué et finalement on déroule plus tranquillement pour la fin de la journée.
Séjour le soir chez Tchoum dans un petit village près de Gap. Superbe maison toute fonctionnelle (eau chaude à mi-temps). Bref de quoi accueillir 22 potes amateur de ski, tarot, time's up, poker, trivial pursuit, wii, playstation, repas à 22 et réveillon. Trop trop bon d'être là.
Ski le mardi sous la neige après 20 minutes de déneigage et poussage le matin pour sortir de la neige. Ski le 31 le matin et retour de la station sur la route enneigée sans les chaînes restées se reposées derrière ma porte de chambre à Paris. On a eu chaud mais c'est passé.

Très bon réveillon avec apéritif et échange de petits cadeaux (après un tirage au sort il y a quelques semaines), foie gras, biche et surtout un Jeroboam de Buzet (5L). Cadeau.
Minuit, bisous, résolutions, champagne à la bouteille. Petit moment critique où il n'y a plus que 5 personnes qui dansent (et donc qui boivent à la bouteille) et 2 bouteilles de champagne qui tournent.
Enfin énorme concours sur SingStar (Nous on est les mecs !). Avec notre pote Jeroboam bien calmé au final.

Etape 5 : Road to the source (Episode 1/2)
Après un dernier tarot, remontée des bagages (pour la 20ème fois au moins) dans la voiture et retour à Sulignat pour un repas familial le 2. Ambiance détendue et préparation de mariage en vue.

Etape 6 : Road to the source (Episode 2/2)
A peine 20h après la dernière étape, le rythme s'accèlère avec une arrivée en Alle..., non en Lorraine. Repas de familles, jeux, visites de famille et grands-parents, repas, repas et derniers moments de calme avant de reprendre.

Etape 7 : Road back to Paris.
Sans bouchon sans encombre. Pour boucler la boucle et rattaquer épuisé par 4 jours de formation.

Mes souhaits pour 2009 : Apporter la paix et la sérénité à tous ceux qui m'entourent, donner tout ce que je peux pour leur faire du bien. Des réussites pour tout le monde, des grands moments à venir. Et surtout : que tous ceux qui m'accompagnent aujourd'hui soient là dans un an.